Pistolet à blanc Retay X1 9mm PAK, couleur au choix

Fonctionnement

Inspiré des lignes du célèbre Sig P229, le Retay X1 est un pistolet à blanc semi-automatique chambré en calibre 9 mm PAK qui se destine à la protection personnelle au domicile, accessible sans licence de tir ni certificat médical. Il constitue un moyen de défense aussi efficace qu’accessible.

Fonctionnant aussi bien en simple qu’en double action, bien que cette dernière soit particulièrement lourde. Nous vous recommandons par ailleurs d’armer le chien avant le tir pour profiter d’un départ allégé.

Chaque tir provoquera une détonation de 130 dB, largement suffisante pour mettre en fuite un agresseur et alerter du même coup le voisinage.

Caractéristiques

L’alimentation en munitions est assurée par un chargeur amovible d’une contenance de 14 coups, une autonomie largement suffisante pour répondre aux situations les plus délicates.

Présentant une carcasse en polymère, la culasse est quant à elle fabriquée en zamak, un matériau offrant un rendu particulièrement réaliste, tant en terme de poids que d’apparence. On profitera également d’une bonne résistance à la corrosion.

On retrouve par ailleurs toutes les caractéristiques d’une arme de poing moderne, comme l’arrêtoir de culasse fonctionnel, bouton d’éjection de chargeur, et sécurité déconnectant l’action de la queue de détente.

Pistolet d’alarme oblige, les organes de visées sont fixes.

Si l’on dispose d’un rail sur la carcasse permettant le montage d’accessoires, les cotes ne correspondent pas au standard picatinny, 23 mm ici au lieu de 21 mm. Une caractéristique à prendre en compte par les amateurs d’accessoirisation.

On appréciera en revanche le filetage à la bouche de l’arme au pas de M9x1 permettant le montage d’un adaptateur de balles caoutchouc qui autorisera le tir de projectiles non-létaux dans l’éventualité où la dissuasion serait inopérante.

Massif et impressionnant, ce Retay X1 bénéficie d’un aspect prompt à tempérer les mauvaises intentions des cambrioleurs et autres intrus. Retay nous gratifie ici d’une réplique dont le niveau général des finitions s’est considérablement amélioré, ce qui n’est pas pour nous déplaire.